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Publié à l'origine sur Custplace
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l'exposition Mountains cutters à la chapelle des Jésuites à Nimes est une honte pour l'école des beaux arts de Nimes. Et les étudiants d'ESBAN eux-mêmes n'ont pas osé donné leurs noms. Le discrédit sur l'école est total
du potentiel mais peut-être un manque de communication entre les élèves et l'administration mais ça c'est facile a améliorer. Aussi je trouve qu'il n'y a pas une grande énergie artistique (manque un brin de jeunesse, et de ce qui est actuel) par rapport à d'autres écoles je pense que les projets pédagogiques devrait changer, ou du moins trouver d'autres partenariats, d'autres lieux d'expositions (dommage qu'on fasse rien avec par exemple la Panacée le FRAC le CRAC MRAC etc...) Pour terminer l'accès handicapé, il n'a pas d'étoile du tout, car il est absent, il y que de escaliers, des petites marches...Il y a 4 ans on nous avait dit qu'un ascenseur allait être placé mais toujours rien... Dommage que la cours ne soit pas un lieux propres à l'école aussi, mais un semi-parking béton/gravier pas destiné aux élèves
1ère année délaissé, équipe éducative a côté de la plaque: peu de suivi et d'intérêt pour les projets qui ne touchent pas leurs branches. On reste bloqué 30 ans en arrière niveau art, peu d'ouverture d'esprit et de motivation vis à vis de nos pratiques. Bien sure aucun matériels est fournis alors que l'on paye 520 € de frais d'inscription évidement non remboursé et sans aucune aide. Cependant les ateliers constructions et édition sont top avec des techniciens talentueux, apportant références, technique, et discussion autour des projets !
Rectifications : 520€ frais d'inscription depuis 2 ans et non pas 400€ comme vous avez pu répondre dans un commentaire (qui devraient être remboursés comme à la fac vu qu'on a le même système de notation qu'eux maintenant...) C'est nouveau la carte qui crédite les impressions vu qu'on l'a eu a la fin de l'année Le lieu est bien situé centre ville tout à proximité (sauf les ateliers d'édition et de construction qui sont loin ce qui est dommage et pas pratique pour le transport des travaux) près la gare qui permet une mobilité vers les lieux culturels de notre région. Il faut être autonome dès la première année et prendre des initiatives (ne pas hésiter à bouger et à voir ce qu'il se passe dans les autres écoles) sinon il ne se passe pas grand chose. Un bon atout, les projet erasmus et césures. Sinon nos ateliers où l'on peut développer notre pratique personnel son grands.
L'ESBAN accueille environ 120 étudiants par an. La formation est pluridisciplinaire en année 1 et 2 où les enseignements permettent de découvrir une large palette de pratiques artistiques ainsi que de se former en histoire de l'art, art contemporain, idées contemporaines et littérature. A partir de la 3e année, l'étudiant se spécialise. En Master (DNSEP), l'étudiant a le choix entre deux parcours : - art et pratiques de l'exposition - art et création littéraire (écritures) L'étudiant peut également faire le choix d'une formation complémentaire en métiers de la régie et de la production des oeuvres et des expositions. En année 2 et en année 4, l'étudiant peut séjourner durant un ou deux semestres à l'étranger (avec un accompagnement par des bourses de mobilité). De nombreux stages sont proposés. Enfin, l'ESBAN accueille chaque année environ 30 intervenants extérieurs.
Pour avoir fait deux écoles différentes, et côtoyer des gens d'écoles bien plus mal placées que nous, je pense que l'ESBAN est une très bonne école. Elle a ses défauts, mais elle a aussi beaucoup de qualités qu'on lui doit de reconnaitre.
Bon, cette école a des défauts (manque de matériaux durant des périodes de l'année, chauffage tardif en hiver dans les ateliers...). Mais finalement comme chaque école. Les locaux sont assez grand pour le nombre d'élève. Nous sommes peux et cela permet de tous se conniitre et de passez de bon moment. Les professeurs ont des points de vues assez divers, et la aussi cela permet d'évoluer dans ses projets. Pour se faire son jugement sur la chose venez au portes ouvertes qui ont souvent lieu en Mars.
ça pourrait être mieux mais ce n'est pas le pire
Les premières années sont complètement délaissés: les professeurs ne se préoccupe pas d'eux, ateliers occuper par les autres années. Il est malheureux de devoir attendre de passer dans les classes supérieures pour avoir un peu d attention. Locaux ...ou skoate les ateliers ne peuvent pas réellement porté se nom, puisqu'ils sont régulièrement vider pour servir de lieu d exposition. Notons aussi le froid a l'intérieur des ateliers! Question matériel c'est vite vue aucun budjet, 0 imprimante dans une école d'art ?? Une équipe administrative peu respectueuse, et pas du tout compréhensible. Enfin bon beaucoup de chose a son a revoir !
Frais d'inscription exorbitants. Il faut pleurer pour avoir un brin de matériel. Il faut se justifier de longue pour des validations de matériels et/ou projets. Le budget est sûrement trop serré pour fournir du papier pour un partiel.
Frais d'inscription exorbitant pour n'avoir que très peu de matériels disponibles. Il faut qu'ils se justifient à chaque fois qu'ils empruntent quelque chose, et pour des matières premières, l'école ne finance pas alors qu'il peut s'agir d'un travail pour l'école. Il faut qu'ils se débrouillent seul la plupart du temps. La première année est prise à la légère pour les professeurs, leurs ateliers sont régulièrement occupé par d'autre années.
