Réclamation

A
Je ne suis pas satisfaite des modalités d’accueil : une fois la carte vitale et l’ordonnance prises, il m’a été difficile d’être écoutée dans mes choix qui ont été réfutés par la vendeuse-gérante sous prétexte d’un choix de montures bon marché, qui seraient de mauvaise qualité, alors qu’elles sont vendues dans le magasin. Au final, je me retrouve avec des lunettes trop grandes et de plus de plus mal centrées.
Au retour à mon domicile, je me rends compte que ma carte vitale ne m’a pas été restituée et je ne la recevrai que 5 jours plus tard par courrier.
B
Lorsque je suis avertie que les lunettes sont disponibles, je suis incitée à repartir de suite avec ma marchandise puisque j’ai payé à la commande! Je dois insister pour qu’un réglage d’adaptation soit effectué.
Lorsque je rappelle pour indiquer mon inconfort et m'étonner que je n ai pas de facture, il me sera répondu premièrement que j’ai sans doute un problème d’oreille interne (sic)!? Deuxièmement, il me faudra appeler deux jours de suite pour recevoir une facture par courriel, la vendeuse-gérante s’étant trompée dans mon adresse courriel.
C
La première paire coûte 1086 euros, la seconde 51 euros (alors que la deuxième paire est censée être gratuite).Je précise qu'il s agit de verres progressifs Essilor : pour une première paire de verres de type VxX2 Ormix et pour une deuxième paire de verres progressifs génériques Essilor.
D
Je suis gênée avec l’utilisation des nouvelles lunettes parce que, avec mon œil droit qui est le bon, je perçois que la vision est floue sauf à bouger la tête, signe que les verres sont mal centrés.
E
Finalement, je suis contrainte de porter à nouveau les lunettes avec mon ancienne correction. Alors que mes anciennes lunettes Afflelou achetées dans un magasin à Quimper en 2019 ne génèrent pas de problème d’adaptation à mon environnement, les nouvelles lunettes achetées dans ce magasin Afflelou à Paris comportent une correction pour l’œil gauche, amblyope, dont le magasin de Quimper m’avait déconseillé l’adoption après contrôle de ma vue, ce que n’a pas effectué la vendeuse-gérante du magasin de Paris.