La mutuelle qui ne respecte pas les anciens combattants
Adhérent de la CARAC depuis 1987 sous le numéro 378922, notre père avait constitué auprès de la CARAC un capital réservé qui devait revenir à ses deux enfants à son décès. Décédé le 9 juin dans sa 92ème année, nous avons adressé à la CARAC le certificat de décès quelques jours après. Au 26 septembre, malgré de multiples appels téléphoniques, l'envoi de lettres simples et recommandées avec les documents usuels, la CARAC, contrairement à d'autres compagnies où le sujet a été traité rapidement, n'a pas daigné respecter ses engagements sans jamais nous avoir adressé leurs condoléances. Ainsi, en plus de la souffrance de perdre notre père, nous devons supporter de la CARAC un comportement indigne, en violation des engagements pris au titre de leur Retraite Mutualiste du Combattant. Notre père a versé son sang pour notre pays, a pensé que la CARAC protégerait ses enfants au moment où il partirait, et il a été trompé par cette compagnie qui déshonore le mutualisme. En 4 mois, un seul appel: pour savoir si nous voulions leur laisser en gestion le capital nous revenant. Depuis: silence radio. Une caricature.
Bonjour,
Permettez-nous tout d’abord de vous présenter nos plus sincères condoléances.
La cellule réseaux sociaux a été alertée de la situation le lundi 23 septembre à 11:19, et a transmis en urgence la requête auprès du responsable du service réclamations.
Dès lors, ce dernier a instruit la garantie et ne tardera sans doute pas à se manifester pour vous donner des éléments de réponse.
Soyez assuré que nous suivons attentivement l’évolution du dossier.
La satisfaction de nos adhérents étant notre priorité.
Bien à vous,
L’équipe Carac.
il y a 5 ans
