Bonne expérience en 2018-2020

J'ai été élève à l'Institut Emmanuel d'Alzon durant les deux années de Classe Préparatoire aux Grandes Écoles Artistiques et Littéraires, de septembre 2018 à juin 2020. Ayant obtenu mon Baccalauréat en 2017, j'ai intégré cette formation après une année universitaire infructueuse et quelque peu flottante. Par contraste, j'ai particulièrement apprécié la rigueur de l'encadrement propre aux classes préparatoires, qui s'incarne de façon assez bienveillante à l'Institut d'Alzon. Les enseignements dispensés sont de grande qualité et visent, par le biais d'entraînements quotidiens et d'un suivi attentif de la part des professeurs, une évolution concrète de nos connaissances et compétences. Les logements à proximité de l'école et en convention avec celle-ci permettent de se consacrer pleinement à l'étude. En somme, l'Institut d'Alzon m'a fourni le cadre nécessaire à une immersion totale dans ma formation littéraire et artistique - chose que je désirai profondément et qui est, peut-être, la condition nécessaire à une véritable appréciation du travail réalisé en hypokhâgne/khâgne dans cet établissement.

Pour les débouchés, la classe préparatoire AL de d'Alzon permet à une partie des étudiants d'intégrer les meilleures universités et certaines des "grandes écoles" de la Banque d'Épreuves Littéraires (concours que nous passons à l'issue de la formation). Ces admissions ne sont pas automatiques et ne concernent qu'une partie des étudiants, contrairement à des classes préparatoires plus prestigieuses. Ainsi, l'Institut d'Alzon n'est pas comparable aux classes préparatoires de premier ordre en termes de résultats aux concours, mais l'enseignement y est sérieux, bienveillant, et permet tout à fait à de bons étudiants (qui ne sont certes pas les plus brillants de France et de Navarre) de faire leur chemin. Pour ma part, la CPGE AL de d'Alzon m'a permise d'intégrer l'École du Louvre par le concours de la BEL et l'Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne sur dossier.