Kafkaïen… Aujourd'hui, je me suis encore rixé avec ...

Kafkaïen… Aujourd'hui, je me suis encore rixé avec deux vigiles du centre commercial Atlantis de Nantes !
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Je passe à la caisse et demande à la caissière "Vous n'avez plus de ces articles qui m'intéressent" ?
Elle m'explique qu'il me faut aller à l'accueil pour en commander.
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Je me présente donc à l'accueil qui est à cheval pour moitié sur l'intérieur du magasin et pour moitié dans le passage extérieur.
J'explique à l'hôtesse mon souhait de commander un article et elle m'invite à rentrer dans la partie marchande pour y remplir le cahier de commande. Je lui signale tout de même que je viens de faire mes courses et que ça pourrait être problématique si je rentrais avec mes un achats. Elle me dit qu'il n'y aura pas de souci et donc je m'exécute.
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Peu après je ressors à nouveau de la partie commerciale, et comme bien souvent, mon jean déclenche la sonnerie de leurs portiques. Je fais quelques pas et je là j'entends une invective de l'un des vigiles qui m'ordonnent « venez la » !
Ni bonjour, ni S.V.P., ni aucune autre forme de politesse... Le ton était d'emblée donné !
On s'explique, séparés de quelques mètres, et finalement je lui dis que s'il souhaitait quelque chose qu'ils viennent donc me voir (j'ai horreur qu'on m'appelle au pied comme si j'étais un chien). Il me rejoint aussi sec et demande à vérifier mes articles. Je lui tends mes sacs sans problème et l'invite à vérifier ce que bon lui semble. Il me demande encore mon ticket de caisse, ce à quoi je lui réponds que je n'en ai pas car j'ai choisi il y a plusieurs mois déjà l'option "triquets électroniques".
On se dirige finalement vers sa guérite située à quelques pas de là, puis il me demande de patienter sans autre explication.
je patiente 1 minute, 2 minutes, et lui demande ce qu'il attend ?
Il me demande à nouveau de patienter mais toujours sans explication.
Pendant ce temps, un de ses collègues me demande si j'ai payé mes articles, insinuant par là que je les aurais volés (sic). Mais lui aussi sans la moindre forme de politesse.
Ce petit jeu continue encore quelques minutes et forcément le ton monte. Enfin c'est un troisième larron qui arrive et qui me demande lui aussi mon ticket de caisse, etc.
Finalement après avoir répondu à encore une fois à toutes ses questions, il s'enquiert auprès de l'hôtesse de l'accueil si ce que je lui ai dit étais bien vrai ; ce qu'elle confirme sans hésiter.
Je peux enfin partir, toujours sans aucun mot d'excuse ou de remerciement... ni même de salutation d'usage.
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Pour conclure, si je peux comprendre la problématique des centres commerciaux, je trouve qu'ils pourraient tout de même dresser un peu mieux leurs chiens de sang, ou tout du moins leur payer un stage de politesse !