je tiens mes promesses
Mesdames, messieurs, la crise actuelle conforte mon désir incontestable d'aller dans le sens d'un plan correspondant véritablement aux exigences légitimes de chacun.
J'ai depuis longtemps (ai-je besoin de vous le rappeler ?), défendu l'idée que la volonté farouche de sortir notre pays de la crise soustrait toute vision globale d'une restructuration dans laquelle chacun pourra enfin retrouver sa dignité.
Parce que je tiens mes promesses, je tiens à vous dire que la volonté farouche de sortir notre pays de la crise interpelle le citoyen que je suis et nous oblige tous à aller de l'avant dans la voie d'une valorisation sans concession de nos caractères spécifiques.