Bobochic : le lit qui fait dormir… d’impatience
Bobochic : le lit qui fait dormir… d’impatience
Ah, Bobochic… ou comment transformer l’achat d’un lit coffre en une véritable saga digne d’une télénovela.
Commande passée le 15 juillet — on se dit, parfait, on dormira comme des rois fin août. Mais non ! Ce serait trop simple. Nous recevons enfin une livraison le 19 septembre, soit plus de 2 mois plus tard, et évidemment... il manque un colis. Mais attention, pas juste perdu — non, “écarté”, on ne sait pas où. La grande classe.
Mais Bobochic nous rassure : on peut soit renvoyer les 4 colis reçus et repartir pour 2 mois d’attente, soit les garder et avoir le 5e plus vite. On choisit bêtement la deuxième option — parce qu’on est joueurs — et là commence le festival.
On nous demande carrément des photos des colis pour savoir lequel manque. Oui oui, l’usine ne sait pas ce qu’elle met dans ses propres cartons. On dirait un jeu de piste. On envoie les photos dans la foulée le 19 septembre (parce qu’on y croit encore), et on reçoit (10 jours plus tard) une réponse pour une livraison prévue au 7 novembre. Vitesse supersonique.
Mais là, le plot twist : le colis part… à notre ancienne adresse. Celle qui n’a pas posé problème à la première livraison. Bravo Bobochic, niveau cohérence, 10/10. On signale l’erreur, on nous confirme que tout est bon.
Et le 7/11 ? Échec de livraison, devinez où ? Bingo, à l’ancienne adresse. On en rit (jaune).
Donc voilà : presque 4 mois pour un lit, 2 adresses mal gérées, 0 geste commercial, 100% désinvolture. Et nous, on dort toujours au sol mais avec style, grâce à Bobochic.
Moralité : si vous aimez les surprises, les colis fantômes, les délais à rallonge et écrire des mails inutiles, foncez chez Bobochic. Sinon, autant acheter son lit chez un vrai commerçant ou construire une palette au sol, ça ira sûrement plus vite.