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Publié à l'origine sur Custplace
Publié à l'origine sur Custplace
Un métier sans avenir, une profession surchargée. Avec 50% des ostéopathes qui gagnent moins de 1590/mois dont 25% en dessous de 870/mois, ça fait peur. Les écoles mentent aux étudiants et aux futurs candidats en leur laissant croire que EUX y arriveront. Plus de 3000 jeunes ostéo ont déjà mis la clef sous la porte. Sans compter que le diplôme n'apporte aucune équivalence. Bref, fuyez!
J'ai terminé mes études à mon avis au sujet du CIDO a quelque peu évolué.
Il y a encore quelques années, l’école était de taille familiale et on pouvait profiter d’une réelle proximité avec le corps enseignant. Aujourd’hui, les promotions approchent la centaine d’élèves, on doit faire des coudes aussi bien dans les salles de cours qu’au réfectoire.
Les professeurs, trop souvent sollicités, n’ont plus de temps à consacrer à chaque problème individuel.
Je faisais partie de ceux qui ont encore eu une partie de leurs études dans un contexte favorable. Aujourd’hui il y a trop de monde dans l’école et surtout trop ostéopathe installé dans la région. Trouver un remplacement et plus encore un nouveau cabinet est devenu quasiment mission impossible.
Pourquoi continuer à prendre autant d’étudiants quand on sait qu’il y a de moins en moins de possibilités de s’installer en ostéopathie ?
Dommage, car il reste encore pas mal de bons professeurs dans l’établissement.
Une prépa terminale, des études à 50 000, c’est un peu cher pour des études d’ostéo, non ?
Surtout au regard des débouchés (qui fondent comme nos neiges au soleil).
Et pourtant aucune réserve ni sentiment de culpabilité lors des JPO.
Tant qu’il y a des jeunes pour signer…pourquoi arrêter le train ?
Comment une belle école comme le CIDO est-elle tombée dans le puit de la course aux profits ?
Etudiante au CIDO l'école est très familiale avec une bonne entente entre étudiants et formateurs. Formation de qualité où on apprend le métier d'ostéopathe
L'ambiance s'est détériorée depuis que l'école est devenue moins familiale et plus anonyme. On tente de nous rassurer sur l'avenir de la profession qui compte beaucoup trop d'ostéo en France, mais les quelques intervenants ne semblent pas convaincu eux même de leur demonstration.
Il faut reconnaitre que l'école a réussi sa phase d'industrialisation : Passer de 300 à 500 élèves, ouvrir une nouvelle clinique pour (dixit le responsable) "suivre la croissance à 500". L'avantage d'être à l'usine (de production en ostéopathie), c'est qu'on passe inaperçu au milieu des centaines d'étudiants de votre promotion. On paye on ecoute et on passe en année supérieure : C'est automatique. Les contremaitres (les coordinateurs pédagogiques) assurent la lubrification de la chaine de produciton. Bref "les temps modernes" sans l humour de Charlie Chaplin Une fois le produit fini, il passe sur le marché.. et découvre... qu'il n'y a pas de marché pour l'ostéopathie. Mais la machine continue sa production..
École RNCP niveau 7, tout est fait pour que nous, étudiants, soyons chouchoutés malgré le COvid
Super école et clinique très pro je recommande vivement
Je suis actuellement étudiante au cido et tout se passe très bien. Les profs font tout leurs possible pour être à notre disponibilité et nous aider dans nos études. L'école a été ré-agréé pour 5 et ce n'est pas pour rien. Les enseignements à la clinique sont que bénéfique et aide à la compréhension et l'apprentissage de se métier. Je la recommande très fortement
Ecole super avec des professeurs volontaires et accompagnants.
C'est une très bonne école d'ostéopathie. Je la recommande en tant qu'étudiants mais aussi en tant que patients qui veulent venir à la clinique du CIDO pour être consultés. C'est une très bonne clinique, professionnelle et agréable. Je vous la recommande vivement !
L école n est plus ce qu elle a été. C est dommage, car il y avait une bonne entente avec l ancien directeur et une bonne ambiance entre étudiants. Ce n est plus le cas et les étudiants aspirent à être diplômé et quitter l école... Drôle d atmosphère.
Ayant été éleve dans cette école et diplômée depuis 2017, je ne peux que la recommander : autant pour les compétences qui nous y sont enseignées, que pour le professionnalisme avec lequel nous pouvons prendre nos patients en charge lorsque nous obtenons notre diplôme. En résumé : école de qualité nous donnant de solides bagages nous permettant de travailler en toute sécurité et grâce à laquelle nous n'avons aucun problème pour nous installer par la suite.
Très déçue par le CIDO qui n'a pas tenu ses promesses en matière de suivi de ses étudiants: C'est devenu comme une école de commerce qui promet beaucoup et se soucie pas compeltement de notre avenir. Heureusement l'association nationale des étudiants en ostéopathie (fedeo) est très active à l'école pour nous aider à comprendre ce qui nous attend à la sortie
Pas convaincu par notre visite sur place. Trop commercial à mon goût et peu ouvert sur les aspects "humanistes" de la profession: j'ai écouté le listing de tous les avantages de l'école (clinique, agrément, Commonwealth, etc.) donnés à la chaine et sans conviction. On aurai aimé entendre un peu plus l'âme de l'école que son pedigree marketing. Bref: un satisfecit poussé à l'extrême sans remise en cause alors que la profession est semble t il en crise. Peut mieux faire. Dommage.
Une école sérieuse (agréé, RNCP1, ISO) mais néanmoins chaleureuse qui accompagne ses élèves avec exigence et bienveillance. Les locaux sont très bien, avec un restaurant intégré au bénéfice des élèves. L'équipe pédagogique est impliquée et sais motiver les élèves qui étudient dans une bonne ambiance.
Bien des changements ces deux dernières années ont conduit à des évolutions parfois intéressantes, parfois difficiles pour les enseignants. L équipe de direction a totalement changée, moins centralisée mais plus commerciale avec des promotions trop lourdes à gérer. Les moyens pédagogiques ont été améliorés, mais les postes les plus intéressants sont confiés à des personnes externes à la "famille CIDO" entrainant un desamour des profs les plus fidèles. Bref, la chance d avoir une direction plus jeune et plus volontaire est anéantie par des promotions internes mal gérée. Les étudiants le ressentent et s en émeuvent. Et pourtant le potentiel est la!
