EUROPCAR
EUROPCAR
Si votre plus grand kif c’est de vous faire voler votre budget vacances par du personnel odieux et malhonnête, vous aller aimer, Sinon :
CHOISISSEZ PLUTÔT UN LOUEUR DE VOITURE
Vous pensez qu’un voucher engage un loueur… pas Europcar
Nous sommes arrivés des Antilles le 14 décembre vers 8 heures à Orly avec un voucher Autoeurope (via Carigami) pour un véhicule type Toyota Corolla Automatique.
Contrat de location Europcar N° 2103862125
C’est en arrivant au bureau d’Europcar à Orly vers les 8h, que nous nous sommes rendus compte qu’une erreur était advenue dans la commande et que le véhicule avait été réservé à CDG. J’aurais dû vérifier le voucher, et je l’assume.
Nous avons demandé le transfert de la location, mais il nous a été répondu que c’était impossible et de voir avec Autoeurope. Nous avons donc dû attendre sur place l’ouverture du standard d’Autoeurope à 10 h. Autoeurope n’ayant à ce stade qu’à nous proposer une annulation onéreuse sans garantie quand à une location de remplacement, nous avons décidé d’aller prendre livraison du véhicule à Roissy, à nos frais. Nous y sommes arrivés à 11h. Au comptoir Europcar, il y avait un homme occupé au téléphone et a trier des clefs et une femme occupée avec le seul client présent à cette heure. Nous avons été pris en charge à 11h21 par la femme.
Au vu de notre voucher cette femme nous a objecté que la réservation était pour 10h, que nous avions 1h20 de retard, (En imputant de façon malhonnête des 20 minutes d’attente devant le guichet à un retard client !) et qu’elle n’avait plus de voiture pour nous.
Je lui rappelais que nous avions fait acte de présence chez Europcar (au mauvais bureau certes) dès 8h et que un dépassement d’une heure dans un aéroport où les retards cumulés des avions et des livraisons bagages dépassaient fréquemment l’heure, n’avait pas de sens.
Elle m’a rétorqué avec mépris que j’avais commandé par l’intermédiaire d’un « booker » et que les clients des « booker » n’avaient droit à aucune tolérance et que je n’avais qu’a voir avec mon « booker »… Les clients d’Autoeurope, Carjet, Booking.com, Carigami et autre Ebooker seront ravis d’apprendre qu’ils sont officiellement et explicitement des sous-clients chez Europcar.
J’ai donc rappelé Autoeurope, leur conseiller m’a demandé de lui passer l‘employée. Elle m’a très vite rendu mon téléphone en refusant toute discussion. Mais pendant ce temps, son collègue, à un mètre de nous, était occupé à proposer à une nouvelle cliente, un véhicule de moyenne gamme à boite automatique… soit celui déclaré indisponible par notre interlocutrice quelques minutes auparavant...
Devant l’évidence de son mensonge, celle-ci a admis que « quelques véhicules de ce type étaient effectivement rentrés » (miraculeusement dans le quart d’heure qui suivait son refus?), mais que bien sûr ceux-ci ne rentraient pas dans le cadre du contrat souscrit et justifieraient un surcoût (?).
A ce stade nous étions éveillés depuis 24 heures, épuisés par un voyage de 18 heures et la seule alternative que nous proposait Autoeurope était frayeuse et demandait encore trois heures de validation. J’ai donc demandé à mon interlocutrice de chiffrer ce surcoût. Je n'ai obtenu d'elle pendant de longues minutes, que des commentaires arrogants et ironiques sur les alternatives Autoeurope ou légales au piège qu’elle avait constitué. J’ai dû demander huit fois ce chiffrage, pendant que le conseiller Autoeurope attendait au bout du fil de savoir quel serait mon choix et donc quelle serait la proposition d’Europcar....
Au bout du compte, nous avons obtenu le véhicule réservé, naturellement et évidemment disponible à notre arrivée, pour un surcoût de 55 % (parfaitement injustifié donc constituant un vol indiscutable) comprenant une deuxième facturation de la « contribution environnementale » forcément déjà comprise dans la première location ce qui constitue indubitablement une deuxième escroquerie.
Sans conter qu’il nous reste à charge la restitution du véhicule à Orly en fin de séjour.
Quand au moment de payer mon épouse a pris la parole pour faire remarquer à l’employée qu’aucun loueur dans un aéroport n’utilisait ainsi l’heure d’arrivée, naturellement approximative, l’employée lui a coupé la parole pour la défier : « vous voulez que j’annule le contrat, vous voulez que j’annule le contrat, vous voulez aller ailleurs, vous voulez que j’annule le contrat... ».
Elle savait à l’évidence que si nous avions accepté de payer c’est que nous étions coincés et il est vrai que mon épouse est noire et que vu l’absence totale d’une quelconque valeur morale que reflète le comportement d’employés d’Europcar, on peut penser que le racisme y est une sorte de norme.
J’ai essayé par de nombreux biais de contacter le « service Client » d’Europcar. La plupart des adresses trouvées sur internet sont inactives. L’adresse « [email protected] » vous donnera un accusé de réception mais aucune réponse. Idem pour la lettre recommandée au siège. Il est vrai que quand, comme Europcar, on considère sa clientèle comme des pigeons, on a aucun intérêt à activer un « service pigeon à escroquer .
Une fois interpellé sur les réseaux sociaux, Europcar affiche des réponses de façade hypocrites feignant d’être désolé mais en privé refuse de rembourser l’argent volé.
Je tiens à préciser deux choses :
1) Pour notre part, à aucun moment de ces discussions difficiles nous n’avons tenu des propos déplacés ou injurieux et ce malgré de multiples provocations.
2) Notre situation d’insulaire et mes fonctions, qui m’ont amené à travailler sur plusieurs départements d’outre-mer, m’ont aussi amené à louer fréquemment chez différent loueurs, à la descente d’avion :
- Jamais je n’avais eu à subir un comportement aussi odieux et grossier.
- Jamais un loueur n’a invoqué un quelconque retard pour me refuser d’honorer son voucher (et ils ont été naturellement fréquents et parfois bien supérieurs à une heure).
- Jamais un loueur n’a exprimé que les clients des « bookers » étaient des sous-clients qui ne méritaient aucun respect et qu’on pouvait voler.
Je tiens à disposition de qui veut tout document attestant de mes dires.