Refus de livrer à domicile
Âgé de 75 ans, je reçois aujourd'hui un colis pesant, selon le bordereau de livraison, 17,27 kg. Le chauffeur me demande de venir le chercher à sa fourgonnette, garée à une centaine de mètres de chez moi. Certes, ma rue est étroite et sinueuse, mais, même en admettant qu'il hésite à s'y engager, il disposait - je l'ai vu - d'un diable pour livrer à pied.
Alors que je rapportais, avec difficulté, mon carton, c'est une ambulancière au volant d'une fourgonnette sensiblement de la même taille que celle de GLS qui, entrant dans ma rue, s'est très aimablement arrêtée pour me proposer d'emmener le carton devant ma porte.
Je n'aime pas m'en prendre aux travailleurs, dont les conditions de travail sont parfois difficiles, mais il y a des limites à la mauvaise volonté.