3 bonnes années mais d’importantes choses à revoir

3 bonnes années passées à l’Isrp, la psychomotricité étant si passionnante. Il est dommage que certains professeurs n’est pas le sens de la transmission, d’autre sont en revanche très compétents. L’établissement en lui-même n’est pas du tout pratique (pas de self mais un lieu horrible en sous sol avec néon, vite bruyant et trop peu de micro-onde pour déjeuner. Les salles de cours sont trop petites et les tables avec chaises accrochées ne sont pas physiologiques, nombreux mais de dos et fatigue du corps et de l’esprit. Il n’y pas assez de place certains sont parfois assis par terre. Il manque du matériel psychomoteur pour nous entraîner en parallèle des cours et durant les cours de pratique. On fait parfois cours de pratique dans des salles avec moquette ce qui n’est pas du tout hygiénique sachant que nous allons au sol, il n’y a pas de testothéque et l’Isrp prépare mal à la passation des tests et ne forme pas du tout à la cotation. Les tests sur les bébés sont vus trop rapidement avec pas suffisamment de mise en pratique encadrée. On se sent alors nul lors de la MSP spéciale petite enfance et pas suffisamment compétent une fois sur le terrain. La majeure petite enfance est d’ailleurs ensuite mal réfléchie et ne prépare pas plus à travailler avec les bébés, il fait s’apprendre seuls ensuite et être passionnés et motivés. L’encadrement manque énormément dans la recherche d’une alternance et l’établissement ne se mobilise que trop peu pour aider les étudiants dans leur rechercher et créer un bon réseau auquel les étudiants peuvent s’adresser. Trop de jeunes se font exploiter par des établissements notamment les Ehpad qui profitent d’une main d’œuvre à moindre coût et l’Isrp qui laisse faire au lieu de sensibiliser et d’accompagner. Le bureau n’est stage n’est pas toujours agréable. Les cours sont intéressants et les neurosciences importantes. Mais il manque fondamentalement de la pratique, la théorie ne suffit pas et parfois il suffirait de donner les cours écrit aux étudiants qu’ils lisent pour les cours pratiques. Je m’imaginais toujours en chaussettes et ce n’a pas du tout été le cas. Nous avons besoin de nous entraîner, au toucher aux tests, de visualiser certains cours par la pratique et ce n’est pas assez le cas à l’idéographie. Le parrainage est une excellente chose

Bonjour, 

Nous vous remercions de votre participation.

Par Institut Supérieur de Rééducation Psychomotrice - ISRP il y a 4 ans

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