Epilogue d'un litige datant d'avril 2016

Le 8/4/2016 je commande 11 cadres pour un montant de 217,80€ payés en 3 fois par carte Visa, commande qui fera l'objet d'une annulation partielle LM étant en rupture de stock, ne resteront en commande que 4 cadres, soit un trop perçu par LM de 124,89€. Après bien des échanges e-mail, téléphone, lettres, en juillet 2016 LM exige pour me rembourser un rib. Eléments que je recopie et leur communique par e-mail. Ils exigent un rib ''officiel papier '', celui de mon carnet de chèques, arguant pour cela de leurs procédures internes. Je leur fait observer que leurs procédures ne regardent qu'eux et ne me sont pas opposables conformément aux articles 221-4 et 242-4 du code de la consommation. LM persiste dans sa demande. Je les assigne devant le tribunal de proximité de Compiègne le 3/10/2016, quoique ne négligeant pas la somme qui m'est due l'important pour moi est de prouver à LM qu'ils ne peuvent, contrevenant au droit, soumettre un client à leurs procédures lesquelles ne relèvent que de leur seule volonté. Outre l'exigence d'un rib, ils m'ont opposé qu'ils ne pouvaient pas non plus me rembourser par chèque. Le jugement a été rendu en ma faveur le 23/2/2017. Le 6/3/2017, j'ai confié l'exécution du jugement à un huissier lequel après un délai légal de 6 semaines vient de m'adresser un chèque de 241.83€ soit le montant qui m'était dû, majoré des dommages et intérêts, du remboursement de la provision qu'ils m'avaient demandée, le tout diminué de leurs honoraires. Je vous laisse juge des faits, j'en ai tiré une leçon: Jamais plus je n'achèterai en ligne chez LM!