Bonjour,
Je ne m'exprime pas sur les réseaux sociaux, habituellement, mais là, "j'hallucine"! Le système d'ouverture latérale refermable qui permettait de prendre les chocos un par un était l'exemple type du petit perfectionnement intelligent, du petit plus simple mais combien fonctionnel, dont on ne peut rapidement plus se passer...
Combien de fois avons nous tous pestés contre les languettes qui cassent ou les amorces de coupe qui ne permettent pas de déchirer l'emballage ? Je me suis souvent demandé combien étaient payées les personnes qui avaient mis ça au point et quel était leur niveau d'étude...
Mais là, pour une fois, un système intelligent et pratique.
Pourquoi l'avoir supprimé alors ? Les râleurs qui trouvent cela moins pratique, ("on ne voit plus combien il reste de chocos..."), rie' ne les empêche d'ouvrir le paquet par le haut, il faut arrêter de se moquer du monde.
Maintenant j'ai du mal à revenir à l'ancien système : soit on démoli le paquet en forçant le passage pour aller attraper les gâteaux, soit on retourne le paquet et on "se prend" toutes les miettes.
Je crois que nous allons revenir aux tartines de pain pour le goûter !
Par Pas besoin de créer un compte il y a 4 ans
5 réponses
Moi aussi je me demandais si ça n'affectait personne ce retour à l'âge de pierre alors que pour une fois ils avaient créé quelque chose d'intelligent. J'ai râlé un bon nombre de fois puis du coup je suis passé à des biscuits bien meilleurs pour la santé .... en matière d'apports (acides gras saturés, sucres .....)
Par Pas besoin de créer un compte non plusil y a 4 ans
Tout à fait d'accord avec vous. Revenir à un système complètement dépassé est une aberration. C'est vraiment se payer la tête des consommateurs. Si, pour des raisons budgétaires, ils n'ont pas eu le choix que d'arrêter l'ouverture latérale. Ils auraient pu au moins, améliorer l'ancien système avec une prédécoupe sur toute la hauteur.
Par Stephil y a 4 ans
Complètement d'accord avec vous. Le retour à l'ouverture par le haut est une aberration. Si au moins, ils avaient améliorer l'ouverture et avaient prédécoupé une ouverture de haut en bas, cela auraient pu passer.Mais là, c'est se payer la tête des consommateurs ue de revenir à une version complètement d'un autre temps. Cela est sûrement dû à une contraite budgetaire....
Par Stephil y a 4 ans
Je suis totalement d'accord remettez les ouvertures faciles latéral !
Par Tanki2Ail y a 4 ans
Je suis totalement d'accord ! Remettez les ouvertures facile latéral !
Marcel Pagnol aurait adoré cette recette de pain grillé de campagne :
Pelletier : Tu mets 87,9 % de farine de blé, 13,3 % de farine complète de blé,
Marius : Et ça fait 101,2 %
Pelletier : Parfaitement ! Tu ajoutes de la levure, de l’huile de palme, du sirop de glucose-fructose, du sel, de la farine de blé malté, de l’acide ascorbique, de l’acide lactique, de la farine de seigle et des germes de blé.
Marius : Dans une biscotte, il n’y a que 100 %.
Pelletier : Mais, imbécile, ça dépend de la grosseur des pourcentages !
César : Eh bien, pour la dixième fois, je vais te l'expliquer, le picon-citron-curaçao.
(Il s'installe derrière le comptoir.) Approche-toi ! (Marius s'avance, et va suivre de près l'opération. César prend un grand verre, une carafe et trois bouteilles. Tout en parlant, il compose le breuvage.) Tu mets d'abord un tiers de curaçao. Fais attention : un tout petit tiers. Bon. Maintenant, un tiers de citron. Un peu plus gros. Bon. Ensuite, un BON tiers de Picon. Regarde la couleur. Regarde comme c'est joli. Et à la fin, un grand tiers d'eau. Voilà.
Marius : Et ça fait quatre tiers.
César : Exactement. J'espère que cette fois, tu as compris. (Il boit une gorgée du mélange)
Marius : Dans un verre, il n'y a que trois tiers.
César : Mais, imbécile, ça dépend de la grosseur des tiers !
Marius : Eh non, ça ne dépend pas. Même dans un arrosoir, on ne peut mettre que trois tiers.
César (triomphant) : Alors, explique-moi comment j'en ai mis quatre dans ce verre !
