Bonjour,

Effectivement, une personne du service Consommateurs m'a contacté pour essayer de comprendre mon mécontentement. A la fin de la discussion, on m'a conseillé de signer le bon de commande (qui n'avait toujours pas été envoyé) comme me le propose le magasin. Et commercialement, ce service n'a aucun pouvoir sur le magasin. En gros, çà ne sert a rien de râler, le client a tord et le magasin est roi.

On nous a effectivement proposé de passer au magasin pour parler de notre litige. Nous n'avions pas envie de faire cette démarche car parler avec quelqu'un qui a réponse à tout n'est pas constructif. Depuis le début du litige, nous demandons au magasin de nous donner l'article des CGV qui prouve qu'ils ne sont pas en tord. Nous n'avons toujours pas eu de réponse (alors que nous l'avons demandé au minimum 2 fois) au bout de 3 mois et 5/6 mails d'échange de la part du magasin.

Aujourd'hui, nous avons installé notre cuisine et conformément a mon inquiétude, nous avons des soucis de pose : Une porte de placard qui ne s'ouvre pas a cause d'un volet roulant, la conceptrice aurait du le voir lors de la prise de cotes, un micro onde non encastrable, les bords du placard sont apparent et la porte du placard qui va au dessus n'est pas aux bonnes dimensions ; obligé de couper les pieds de la cave à vin car le plan de travail n'est pas suffisamment haut (le poseur a respecter le plan que Schmidt nous a fourni) ; le plan de travail est trop court de 1.5 cm environ (notre poseur a respecter le plan et le manuel de montage.
Nous sommes en attente de la réponse du magasin à ce sujet. Je vois déjà venir la réponse : erreur de notre poseur. Alors que non il a respecter les côtes du plan et le manuel de montage.

Je sent que je vais encore avoir le droit à la petite phrase pour leur conceptrice : l'erreur est humaine et notre conceptrice est humaine. Sauf que dans l'expression : l'erreur est humaine, le mot erreur est au singulier ....

Fin d'expérience à la hauteur du début.