Showroomprivé ; non livraison ; à fuir pour Noël ; société en difficulté ?

J'ai commandé 2 articles (un Hoverboard de la marque HoverWheel au prix initial de 543 €uros vendu 99,90 €uros + 1 hoverkart au prix initial de 99 €uros vendu 29,90 €uros) via le site de ShowroomPrivé.com le 07 novembre.
Un email de confirmation m'a été adressé le 09 novembre selon lequel ma commande était expédiée. La livraison devait avoir lieu le 20 novembre (veille de l'anniversaire de ma fille).
Le 20 novembre, en l'absence de livraison, j'ai appelé les services ShowroomPrivé.com.
Mon interlocutrice m'a indiqué qu'elle faisait le nécessaire et que j'allais recevoir un email (que je n'ai pas reçu).
Après un nouvel appel de ma part le 28 novembre, on m'a envoyé un email pour me dire que "nous mettons tout en œuvre auprès du transporteur pour localiser votre colis. L'enquête peut demander 16 jours".
Le 04 décembre, je reçois un email publicitaire de Showroom.Privé dans lequel ils présentent une offre "HoverWheel" en ajoutant "Garanti pour Noël".
Je me dis qu'il y a du stock et que donc je vais pouvoir être livré.
Mais le 05 décembre, je reçois un email du service clients de Showroom.Privé qui m'annonce : "Après étude de la situation, et ne souhaitant pas vous laisser sur cette mauvaise note de services, je vous confirme avoir procédé de suite au remboursement de cet achat".
Ont-ils le droit de faire ça ? Ne doivent-ils pas honorer les commandes passées ?
Avec un "remboursement sous 5 jours", Showroom.Privé aura bénéficier de ma trésorerie pendant plus d'un mois !
Je suis très déçu de Showroom.Privé qui m'a fait louper d'autres offres pendant la période du Black Friday et dont le service clients se moque du monde.
Je sais désormais que pour mes cadeaux de Noël je passerai par Amazon avec qui je n'ai jamais eu de problème et qui ont au moins la politesse de répondre rapidement aux demandes.
Pour Noël, j'invite tout le monde à se méfier de ce site dont j'ai appris qu'ils ont lancé une opération d'augmentation de capital "destinée à sortir la société de l'ornière" selon la presse économique.