Avis étudiants ISFJ-INSTITUT SUPERIEUR DE FORMATION AU JOURNALISME

Qui est ce courageuse personne ? Tout est faux dans les msg mdr, excepté le fait que j’arrivais en retard mais peut-être parce que les cours ne commençaient pas à l’heure.

LOL 🤣 ça fait son rageux un an après !!! On parle de qui ?? du mec de la classe en scooter qui arrivait malgré tout en r etard tous les jours, étyait tout seul sur la cour, disait des trucs bien chaaauds sur l'immigration, a eu telleeeement d'absences qu'il n'a pas pu faire les rattrapages avec sa daronne qui tél. l'école pour s'excuser de son comportement ??? TELLEMENT crédible 😂😂😂 (et même si je le rejoinds sur le matos de 2024)

Merci pour votre invitation, mais rencontrer les étudiants actuels ne répond toujours pas aux faits concrets soulevés par d’anciens élèves. Les témoignages évoquent des problèmes structurels : cours annulés ou écourtés, matériel indisponible pendant des mois, accompagnement quasi inexistant pour les stages… Ce ne sont pas des “impressions”, mais des faits répétés et détaillés.
Je suis ravie si certains vivent peut-être une meilleure année aujourd’hui, mais cela ne réécrit pas les engagements non tenus auparavant — surtout pour une formation à 7 000 € censée offrir sérieux, rigueur et conditions professionnelles.
Puisque vous parlez de transparence, il serait utile d’apporter des réponses concrètes à des questions simples :
• Pourquoi le studio est-il resté fermé plusieurs mois alors qu’il fait partie des outils indispensables de la formation ?
• Comment expliquer que les étudiants aient dû gérer seuls leur recherche de stage alors que l’école met en avant un “réseau solide” ?
• Comment justifier le manque de matériel de base (micros, équipements audio) pour une promotion entière ?
• Quelles mesures concrètes ont été mises en place pour éviter le manque de retours pédagogiques et l’absence de suivi réel ?
• Comment expliquez-vous les retards répétés, les pauses interminables et les cours réduits à peau de chagrin ? Est-ce que l’école considère cela comme un fonctionnement normal/acceptable ?
• Qu’en est-il du manque de professionnalisme signalé chez certains intervenants ? L’école a-t-elle mis en place un contrôle qualité ou un vrai suivi pédagogique ?
• Plusieurs retours mentionnent des entreprises qui refusent aujourd’hui de collaborer avec l’école à cause du niveau insuffisant d’encadrement. Quelles démarches ont été faites pour restaurer cette confiance ?
• Enfin, comment justifier qu’un programme vendu comme “intense et professionnalisant” se transforme en semaines si légères qu’on parle d’une ambiance de quasi année sabbatique ?
Les futurs étudiants ont besoin de réponses précises, pas simplement d’un discours général ou rassurant. Les faits sont là, et c’est précisément sur ces points concrets que l’école est attendue.

Bonjour Téa, je vous invite à venir à l'école rencontrer nos étudiants actuels qui pourront vous décrire avec sincérité et spontanéité l'expérience de formation qu'ils vivent cette année. C'est probablement ce qui sera le plus parlant. Mon objectif premier est de permettre à l'étudiant de suivre une formation qui lui ressemble et grâce à laquelle il aura les meilleurs débouchés. Cordialement Valérie CAILLARD

Merci pour votre réponse. Cependant, le problème que décrit Albéric n’est pas seulement un manque d’implication de sa part ou des étudiants, mais des manquements concrets de l’école elle-même :
des cours annulés ou mal organisés, avec des professeurs en retard ou des pauses prolongées ;
un matériel insuffisant pour la pratique (studios fermés, micros limités) ;
un accompagnement quasi inexistant pour les stages, obligeant les étudiants à se débrouiller seuls ;
un manque de suivi sur les travaux et les évaluations.
Même un étudiant très motivé ne peut pas compenser ces lacunes. Il est important de distinguer ce qui relève de l’implication individuelle et ce qui relève de la responsabilité institutionnelle. Ces éléments concrets nuisent à la qualité de la formation et à la crédibilité de l’école, indépendamment de la volonté de l’étudiant. En résumé, l’école excelle dans la communication et les promesses alléchantes, mais la réalité est toute autre : 7 000 € pour se débrouiller seul, profiter d’un matériel insuffisant et constater que l’accompagnement est quasi inexistant. Une performance marketing remarquable, mais pour le reste… il vaut mieux regarder ailleurs au final.