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Avis Polygone Riviera Cagnes-sur-Mer, 119 Avenue des Alpes du plus récent au plus ancien

Objet:Signalement d’un incident grave au Polygone Riviera ...

Objet:Signalement d’un incident grave au Polygone Riviera – Demande de recadrage et de mesures appropriées

Monsieur,

Je vous écris pour signaler un incident extrêmement choquant survenu vendredi 27/06 vers 11h00, au centre commercial Polygone Riviera Cagnes-sur-Mer
alors que je faisais mes achats accompagnée de mes deux enfants âgés de 10 et 12 ans.

Alors que je me trouvais à l’intérieur de la boutique Zara, un agent de sécurité m’a interpellée sans explication claire, exigeant que je le suive immédiatement, sans même attendre que je termine mes achats. Une fois à l’extérieur, j’ai été cernée dans la galerie commerciale par quatre agents masculins, deux devant, deux derrière. J’étais seule, accompagnée de mes enfants, et j’ai été suivie ainsi devant les passants, comme si j’avais commis un acte grave, ce qui a provoqué un véritable malaise public.

Monsieur Patrice Clément, cinquième agent et référent, est venu se joindre à eux. À ce moment-là, je me suis retrouvée seule femme entourée de cinq hommes en posture d’encerclement, dans une mise en scène aussi intimidante qu’humiliante. Ce type d’intervention est profondément choquant, surtout dans un lieu public.

Or, le rôle de Monsieur Clément, en tant que professionnel expérimenté, aurait dû être d’apaiser la situation, de demander aux agents de se retirer, ou de prendre le relais calmement, en m’expliquant les faits et en envisageant une résolution amiable. Au lieu de cela, il a cautionné l’attitude de ses collègues, affirmant qu’ils « faisaient simplement leur travail ». Je suis formelle : ce n’est pas faire son travail que de mobiliser cinq hommes contre une femme seule, accompagnée de deux enfants, pour un incident mineur.

Les faits : mes enfants ont poussé un caddie laissé au milieu du parking (où il n’avait rien à faire), lequel a légèrement touché un tuyau. La scène n’a pas été filmée, mais mes enfants ont spontanément reconnu avoir déplacé le caddie, sans volonté de nuire. Une fois la police arrivée, il s’est avéré qu’il ne s’agissait que d’un petit joint détérioré, remplaçable en quelques minutes pour moins de dix euros. La police elle-même a reconnu le caractère mineur de la situation.

Malgré cela, j’ai été retenue jusqu’à près de 13h, empêchée de quitter les lieux, alors que j’étais pleinement disposée à coopérer pour établir un constat. Cette rétention injustifiée, en présence de mes enfants en pleurs, constitue à mes yeux une forme de séquestration abusive, exercée dans un contexte public et humiliant.

Je suis Chef d’équipe sécurité incendie (SSIAP2) et formatrice en sécurité et secourisme, et je connais parfaitement les pratiques professionnelles encadrées par la loi. Ce que j’ai vécu ne correspond en rien aux principes de notre métier.

Enfin, je rappelle que Monsieur Patrice Clément m’a, par le passé, adressé des avances que j’ai recadrées et refusées, et m’a proposé de venir travailler avec lui chez Securitas, ce que j’ai également décliné. Son comportement dans cette situation me paraît entaché de partialité et de règlement personnel, ce qui est totalement inapproprié.

Je vous demande :
• Un recadrage clair et formel de l’ensemble des agents impliqués,
• Une enquête interne sur le déroulement et les choix managériaux de cette intervention,
• Et des mesures appropriées à l’égard de Monsieur Clément, compte tenu de son attitude et du contexte.

Je reste disponible pour tout échange complémentaire, mais me réserve le droit d’engager les démarches nécessaires si aucune suite sérieuse n’est donnée à ce signalement.

Dans l’attente de votre retour,
Veuillez recevoir, Madame, Monsieur, l’expression de mes salutations distinguées.
La réponse

Bonjour Madame

Suite à la réception de votre mail, nous allons nous rapprocher des personnels Securitas présents le 27/06 pour entendre leur position et retour d’informations sur le signalement que vous relaté.
Et voici la mienne et aucun retour

Objet : Suite à votre retour concernant l’incident du 27/06

Bonjour Monsieur ,

Je fais suite à votre message, et je me permets de vous exprimer mon profond étonnement face à votre réponse.

Vous mentionnez vouloir entendre les personnels Securitas présents le 27 juin. Toutefois, je tiens à rappeler qu’il ne s’agit pas ici d’un simple signalement, mais d’un incident grave impliquant des enfants mineurs, visiblement traumatisés par l’intervention excessive de cinq agents de sécurité, dont le chef de site, alors même qu’il n’avait, selon moi, aucune raison légitime d’intervenir.

Il ne s’agissait en aucun cas d’une situation critique nécessitant une telle mobilisation. Le contexte aurait pu être géré avec calme et discernement, notamment en tenant compte de la présence d’enfants et en privilégiant le dialogue plutôt que l’intimidation collective. Ce type de comportement est non seulement disproportionné, mais aussi contraire aux obligations déontologiques d’un service de sécurité.

Je vous invite donc à reconsidérer votre position avec la gravité que requiert cet incident. Une réponse formelle et des mesures concrètes sont attendues, notamment une explication sur la présence du chef de site ce jour-là, ainsi qu’une reconnaissance des conséquences psychologiques sur les enfants présents.

Je souhaite apporter une précision supplémentaire concernant l’incident du 27 juin.



Le dommage constaté a été causé par la présence d’un caddie abandonné dans le parking souterrain. Or, bien que le site soit un centre commercial, ce parking n’est pas celui d’un supermarché, et rien ne justifie qu’un caddie y soit stationné sans surveillance, sans système d’attache, ni contrôle d’usage.



Ce type de manquement constitue une défaillance en matière de sécurité des espaces communs, alors même que la réglementation impose au gestionnaire du site d’assurer la sécurité des usagers (article R.4228-1 du Code du travail) et de prévenir les risques liés aux équipements présents dans les zones accessibles au public (article 1242 du Code civil, sur la responsabilité du fait des choses que l’on a sous sa garde).



Le constat qui m’a été remis sur place était un constat automobile, document inadapté à ce type de situation. Je l’ai tout de même rempli, en barrant les rubriques non pertinentes, en précisant qu’il s’agissait d’un caddie non identifié, à l’origine du dommage.



Il me semble important de revoir les procédures internes, notamment :



la vigilance quant aux objets entreposés dans les zones de circulation,
l’usage de documents adaptés à la nature des incidents,
et la gestion cohérente des interventions, afin d’éviter de mobiliser à tort plusieurs agents pour des faits facilement évitables.
Même pas une excuse c’est honteux !

Par Sonia Hanine il y a 4 mois
Date d'expérience le 21/07/2025

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Par Mélinda il y a 5 ans
Date d'expérience le 22/06/2020